Nous flânons, marchons, nous promenons ou sautons en étant plus ou moins conscients d’être, avons parfois l’impression que notre fardeau est lourd mais parfois aussi qu’il n’en est rien.
Nous avons peut-être parmi nos connaissances des personnes qui vivent globalement positivement leur existence, et d’autres qui, par contre, considèrent leur vie comme un cauchemar.
Le bonheur ou la chance ne dépendent pas selon moi de son propre parcours. Il est possible d’exercer sa conscience, d’y porter de l’attention et un processus de transformation s’enclenche. La qualité de la présence et l’attitude ouverte du sophrologue ont aussi, à mon avis, une influence certaine et j’y accorde beaucoup d’importance. Je tiens à préciser que mes conseils n’ont aucun lien avec des principes religieux ou moraux, m’appuyant plutôt sur ma connaissance, ma riche expérience, et faisant appel à mon intuition.
Après mes études pédagogiques et ma carrière professionnelle de musicien d’orchestre et de soliste, j’ai entrepris une formation de sophrologue pendant plusieurs années. Il se trouve que j’ai traversé une période professionnelle difficile et que j’ai découvert alors cette méthode dont l’approche non thérapeutique m’a fasciné.
„Apprends-moi à le faire par moi-même“, voilà le commencement de ce processus individuel, la force des mots et du silence, comme dans une bonne composition, m’impressionnent encore aujourd’hui et me touchent profondément.
En sophrologie, on travaille moins avec le vécu d’une personne qu’avec les éléments structurels (corps, conscience de soi, âme, esprit). C’est ainsi que commence un processus intérieur, qui modifie le regard qu’on a de la réalité et révèle les valeurs propres à chacun. Les exercices sont adaptés à chaque individu en fonction de ses besoins.
Ma méthode de travail s'oriente sur les connaissances actuelles de la science et je me forme en continu afin de perfectionner mes compétences.
C’est avec un grand plaisir que je mets mon savoir à votre disposition pour vous accompagner avec empathie sur ce chemin.
